Une Grosse Nouille Nommee Benoit Ep 08 : La Je Ne Resistais Pas
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT
EP 08 : LA JE NE RESISTAIS PAS
Alors là il m'avait surpris, si c'était ce qu'il voulait faire, c'était réussi ! Je restais là, comme un con, incapable de dire quoi que ce soit, il partait en me criant
Étienne : Allez en avant bonhomme, on a encore de la route à faire avant ce soir !
Il se retournait, me regardait, il rigolait.
Étienne : Tu bandes encore mon gars. C'est moi qui te fais cet effet ?
Je marmonnais quelques mots incompréhensibles, que je ne comprenais même pas moi même d'ailleurs, et j'avançais en traînant les pieds. Là je ne savais plus quoi faire, j'avais envie de lui sauter dessus depuis ce matin même que hier j'avais déjà envie de lui sauter dessus
En tout bien tout honneur ! Pas pour lui faire du mal ! Juste pour lui sucer la queue et me la prendre dans le cul. Je n'avais que de bonnes intentions parfaitement avouables, ne vous méprenez pas !
Il prenait de l'avance et brusquement je me voyais tout seul dans la forêt au pied d'une montagne que je ne connaissais pas, je ne savais pas ou j'étais
Et le téléphone il marche le téléphone. Je faisais un essais
Ouf il marche le téléphone
Étienne était au bout du chemin, il allait entrer dans le bois, je paniquais et me mettais à courir, quelques instant plus tard j'entrais dans le bois, il n'y avait plus personne !
Là je paniquais vraiment, je regardais à droite et à gauche, je l'appelais et j'accélérais le pas, je mangoissais et je hurlais
Moi : Étienne si tu ne me réponds pas je pleure !
Je l'entendais alors rigoler juste derrière moi.
Étienne : Et bien voilà une réaction d'aventurier là ou alors c'est que je n'y connais rien.
J'étais affolé, je me retournais vers lui et le prenais dans mes bras !
Moi : Tu m'as fait une de ces peurs. Je me croyais perdu, abandonné, je me voyais déjà perdu dans la nuit et toi je ne sais ou, me cherchant peut être.
Étienne : Allons c'est fini, je ne t'abandonnerai plus je te le jure, c'est fini, c'est fini.
Il me prenait dans ses bras et je dois reconnaître que l'émotion passée, j'en profitais un peu. Je sentais enfin ses muscles, ses bras forts, la chaleur de son corps, son souffle
Je bandais encore plus, de ce côté je ne contrôlais plus rien
Étienne : Bon tu peux me lâcher maintenant, on a encore de la route à faire
A contre cur je le lâchais. Je me disais que si je continuais il finirait par s'imaginer que j'étais une fille facile
Et ce n'est pas le cas ! Je peux vous garantir que je ne couche pas le premier soir
Mais qu'est ce que je raconte moi, en général je n'attends même pas le soir !
Étienne : Bon maintenant tu marches devant. C'est moi qui vais reluquer ton cul.
Je passais donc devant, je jetais régulièrement un il pour m'assurer qu'il ne m'abandonnais pas, qu'il était toujours là
Étienne : On t'a déjà dit que tu avais un beau cul ?
J'aime bien les compliments, je prenais de l'assurance et le laissais parler.
Étienne : Tu as de beaux mollets aussi on voit que tu fais du sport.
Je relevais les épaules et bombais le torse. Je l'entendais rigoler
Étienne : Ton col est de travers et ta chemise est déculottée !
Je m'arrêtais net. Réajustais fébrilement mon col et repassais ma chemise bien dans mon pantalon
Je me retournais et je le voyais, il avait une main devant son visage, il rigolait et je l'entendais
'' Mais c'est pas vrai c'est encore pire que ce que je croyais
! ''
Moi : C'est bon j'ai compris, tu te moques de moi !
Étienne : Oui mais avec beaucoup de tendresse ! ( avec un grand sourire ravi )
Moi : Tu me l'as déjà fait celle là !
Étienne : En fait je suis jaloux de ton élégance, c'est vrai quoi tout te va à toi !
J'étais content je retrouvais une allure digne et en même temps je l'entendais rigoler
Il me taquinait mais il était mignon tout de même, j'aimerais bien dormir avec lui bientôt.
Étienne : Mais pourquoi tu n'as jamais essayé avec une fille !
Moi : Une fille ! Beuuuuuurk !
Étienne : Oui bien sûr ! C'est un argument comme un autre ça !
Moi : Par contre un jour il y a une fille qui a essayé avec moi !
Étienne : Mon pauvre je compatis, j'espère que ça ne t'a pas trop traumatisé
Raconte !
Moi : Voilà, j'étais en vacances avec des copines
Étienne : Et un soir une d'entre elles à
Moi : Mais voyons mes copines c'étaient des mecs
Pffff
Mais essaye de suivre un peu
Étienne : Oui c'est vrai, j'aurais du me douter que ... Excuse moi tu peux continuer.
Moi : Donc, on dormais dans une grande maison qu'on avait louée ( enfin moi surtout ) pour y faire le fête et on avait reçu plein de monde et aussi des filles
Étienne : Là il s'agit encore de mecs je suppose
Moi : Mais non voyons, mais fait un effort, là il s'agit de filles
Essaye de suivre ce que je raconte
Étienne : C'est vrai que j'ai du mal par moment !
Moi : Donc, je dormais seul pour une fois, j'allais m'endormir et je sentais un corps chaud qui se glissait contre moi dans le lit, une peau douce, j'imaginais qu'il s'agissait du petit Youri que j'avais remarqué un peu plus tôt, il était mignon tu peux pas t'imaginer le petit Youri
Évidemment je le caressais doucement et devine !
Étienne : Non, je ne sais pas
Moi : C'était pas Youri ! C'était une fille, il n'avait pas de bite et elle avait des mamelles.
Étienne : Des seins !
Moi : Tu appelle ça comme tu veux, c'était flasque, ça ne sert à rien et si il y avait ces trucs en trop il manquait quelque chose d'essentiel
Étienne : Une queue !
Moi : Exactement ! Je te raconte pas
Étienne : Si, si raconte ! ( d'un air dépité )
Moi : Bon je te raconte mais c'est bien parce que c'est toi. Je me suis relevé, enveloppé pudiquement dans mon drap, elle était à poil dans mon lit la grosse, j'ai hurlé comme une folle avec une vox suraiguë
'' Au viol ''
J'étais bouleversé.
Étienne : Mon pauvre chérie ! Tu as eu très peur ?
Moi : Je te raconte pas
Étienne : Si, si, raconte ! ( d'un air distrait )
El la fille alors ?
Moi : Et bien la fille, je n'ai pas eu le temps de voir qui s'était, elle a disparue avant que j'ai le temps de réagir
Je te raconte pas
Étienne : Mais si, mais si !
Moi : J'étais dans un état, tiens regarde, rien que d'y penser
Je tremble comme un malade.
Je lui tendais la main pour qu'il puisse constater ! Un peu surpris il me serrait la main et m'indiquant la direction.
Étienne : On va dans cette direction
Là !
Moi : Tu écoutais ce que je racontais au moins ?
Étienne : Euh
Tu sais que tu as vraiment un très beau cul toi !
Moi : C'est trop mignon !
On continuait à avancer
J'étais content de ce dernier compliment que je devinais sincère
Il est fou de moi c'est sûr ! Nadine va me , je n'ose même pas imaginer comment elle va s'y prendre mais elle va me et ensuite ce sera Hélène qui va me et là je suis sûr qu'elle sera encore plus cruelle. Je ne vous dis pas mais
Et puis si je vous le dis
Il faut vraiment être mordu pour supporter ce qu'elle vont me faire subir
Même quand on est aussi courageux que moi !
On continuait encore à marcher une bonne partie de l'après midi. J'avais l'impression qu'on continuait à monter, on finissait par arriver sur une petite plage au bord du lac, un endroit charmant, j'étais complètement perdu, à aucun moment je n'avais remarqué que nous étions redescendu
Étienne : Bon ! On est arrivé ! Tu saurais monter la tente ?
Moi : Moi ! Sans problème, non mais tu as vu comment ça s'est passé hier
Étienne : Bon je vais le faire
Vas donc chercher du bois ! Et ne te fais pas mal avec la hache !
Tout guilleret je partais en sifflotant la fameuse chanson des nains dans blanche neige
Je l'entendais qui ne pouvais pas retenir un commentaire flatteur.
J'étais encore en train de choisir un arbre quand je le voyais arrivé l'air un peu affolé
Étienne : Ça va tu ne t'est pas blessé ?
Moi : Non pourquoi veux-tu que je sois blessé ?
Étienne : Non rien je dis ça comme ça ! Mais tu fais quoi là ?
Moi : Je cherche quel arbre je vais couper !
Étienne : Mais on ne coupe pas d'arbre, on récupère juste les branches, regarde là par terre il y en a plein
Il me prenait la hache des mains
Étienne : Avant que tu ne te fasses mal, on ne sait jamais !
On ramassait tout ce qu'on pouvait trouver de bois utilisable, puis on revenait au camp. On discutait toujours.
Moi : Alors ton mec tu l'as sauté ou tu l'as pas sauté.
Étienne : Toi quand tu as une idée dans la tête ! Pas le premier jour
Moi : Et ça c'est passé comment après dis
Le lendemain ça c'est passé comment
Dis !
Il rigolait de bon cur en me regardant.
Étienne : Tu es un marrant toi ! Bon on ramène du bois, on fait du feu et je te raconte
On ramassait du bois mais motivé que j'étais j'en ramassais trois fois plus que lui, je faisais plusieurs tours maintenant que j'avais compris ce qu'il fallait ramasser
A la fin c'est même lui qui devait me calmer. On avait un beau tas de bois devant la tente.
Étienne : Mais c'est que tu deviens efficace toi quand tu es motivé. Je m'en souviendrai !
On se retrouvait un peu plus tard devant la tente à côté d'un feu de camp, un peu d'eau dans la gamelle et on avait tout les deux un repas réhydraté succulent. Il était beau éclairé par les flammes, torse nue le chapeau sur la tête. Aventurier dans l'âme je voyais en lui mon âme sur et je le trouvais de plus en plus attirant, je bandais encore mais bon je commençait à en avoir l'habitude
Depuis le matin je ne contrôlais plus rien de ce côté la
Il reprenait son histoire.
Étienne : Le lendemain on se retrouvait de nouveau sur l'île, et on se faisait un concours de branlette
Moi : Qui c'est qui a gagné ?
Étienne :
Mais c'est lui ! ...
Moi : Tu as perdu ! Bouuuuuu !
Étienne : ( en levant les yeux au ciel ) C'est que moi bonhomme j'aime bien prendre mon temps, quand on se branle il n'y a pas urgence
Moi : Tu as raison
Donc en fait c'est toi qui a gagné ! Yooooo !
Étienne : Tout à fait ! On se retrouvait tous les jours comme ça et on se branlait en cur. Il finissait par comprendre lui aussi que c'était mieux si on prend son temps, c'était cool et ça soulageait. Il faut dire qu'on se baladait à poil en permanence. Quand je venais ici à cette époque je passait tout mon séjour à poil en permanence. D'ailleurs à partir de demain
Moi : Moi pareil alors ! Mais ensuite tu l'a enculé le mec ?
Dis !
Étienne : Ensuite on à commencé à changé les règles de nos branlettes, on se masturbait l'un l'autre, et je dois dire que j'en prenais beaucoup de plaisir. Je le suçait de temps en temps, lui il me suçait plus souvent il aimait vraiment ça j'ai l'impression.
Moi : Et tu aimes sucer une queue ?
Étienne : Bof, très moyennement. Je préfère me faire sucer !
Moi : Cool !
Étienne : Cool ?
Bon je continue, au bout de plusieurs jours je lui glissait encore un doigt dans le cul. En y allant doucement il réagissait bien, il appréciait de plus en plus
J'apprenais à le faire jouir avec éjaculation et tout et tout uniquement avec un doigt, moi j'aime moins, ou alors c'est qu'il s'y prenait mal ! Au bout de trois semaines je décidais d'en faire un peu plus
Moi : Tu l'a enculé ? Il a du le sentir passer ? Ça lui a fait mal ? Il en a redemandé ou il alors il ne voulait plus
Étienne : Dou ce ment bonhomme
C'est moi qui raconte !
Moi : Oui, je ne dis plus rien, tu peux y aller
Étienne : Donc trois semaines plus tard, je lui proposais de le sodomiser. Il avait un peu peur
Moi : J'imagine, moi à sa place enfin si j'avais son âge je
Ok je ne dis plus rien !
Étienne : Je lui promettais d'y aller en douceur
Moi : Tu parles avec un truc pareil
En douceur
Pfff
Mort de rire
Ok , Ok je me tais !
Étienne : Il voulait m'enculer en premier, pour voir si
comment j'allais réagir
Moi : Non ! Encore un qui ne savait pas ce qu'il voulait ! Bon Ok
Étienne : J'ai hésité un petit moment puis je me suis dit que de toutes façons, vu la taille de nos deux queue j'avais la meilleure place
Moi : Ça dépend, les goûts et les couleurs
Et puis il y a les grosses gourmandes
Bon ça va j'ai compris je ne dit plus rien
Vas y continue
Tu ne m'entendras plus
Plus un mot !
Étienne : Je l'ai laissé faire
Je dois dire que je l'ai senti passer. Ça fait mal la première fois ! Je ne te dis pas, enfin tu connais
Non ?
Moi : Moi je dis plus rien !
Étienne : D'accord !
Au moment ou il pousse et qu'on sent ton anus se dilater, on ressent une douleur terrible, ensuite quand il s'enfonce ça devient insoutenable
Je voulais lui dire de se retirer mais j'avais bien l'intention de l'enculer après
Je serrais les dents !
Moi : La vache !
Étienne : Il me limait sans ménagement, je serrais les poings, je serrais les dents ! Et rapidement il jouissait en moi. Il me serrait dans ses bras et je le sentais trembler, je sentais son souffle dans mon cou.
On s'allongeait sur l'herbe, je reprenais mon souffle, ça fait vraiment un mal de chien. Je me demandais comment il allait réagir quand ce serait son tour
J'étais beaucoup plus gros que lui !
On discutait
Il me proposait de continuer un peu plus tard, il bandait à nouveau. J'avais compris quelque chose. Je le lubrifiait longuement avec de la salive ( on n'avait rien d'autre sous la main ), je le travaillait comme je le faisais depuis un moment déjà avec un doigt puis deux, je passais même à trois. Il gueulait de plaisir ! Je crachais sur ma queue à plusieurs reprises puis je posais mon gland sur son cul et doucement je poussais. Mon gland rentrait, tu aurais vu la tête qu'il faisait, une grimace à faire peur.
J'ai compris à ce moment qu'il allait gueuler trop fort aussi je lui posais ma main sur la bouche et j'enfonçais ma queue en entier. J'avais vu juste, sans ma main il aurait hurlé et je suis sûr que nos parents auraient entendu
Il haletait comme, il respirait fort. Il gémissait, j'avais l'impression qu'il allait pleurer. Je gardais ma queue bien enfoncée dans son cul.
Je posais de nouveau ma main sur sa bouche, et me retirais puis m'enfonçais à nouveau. Il tremblait. Je le prenais pas les hanches et je me retirais, m'enfonçais et prenait le rythme. Au début j'y allais doucement, je sentais qu'il valait mieux ne pas faire durer et comme j'étais déjà largement stimuler je n'avais qu'à me laisser aller pour éjaculer rapidement dans son cul. La c'est moi qui tremblait, je le serrais fort dans mes bras et je l'embrassais. Ensuite je me retirais. Il faisait la gueule !
Moi : J'y crois pas ! Il a encaissé ton truc ? Tu étais plus jeune, ça devait être plus petit
Non ?
Étienne : Non je n'en suis pas sûr
( il rigolait )
Moi : Et vous avez remis ça ?
Étienne : Non, ça il ne voulait pas
Moi j'ai eu mal au cul pendant plusieurs jours et lui aussi
On allait souvent dans l'eau, ça soulage, puis ça passait. On continuait nos branlettes. On inventait un jeux, chacun branlait l'autre et celui qui jutait en premier avait perdu.
Moi : Et c'est toi qui gagnait !
Étienne : Oui mais c'était parce que, comme il voulait me faire jouir en premier il y allait un peu trop fort
Et en fait c'était pas plus efficace
Moi : Ça me rappelle quand j'étais jeune
Étienne : En tout cas cette histoire t'a plu !
Moi : Ça se voit tant que ça ?
Étienne : Tu bandes bonhomme
Tu bandes
Moi : C'est l'érection du matin !
Étienne : On est le soir !
Moi : Je suis comme ça depuis ce matin !
Étienne : Il m'avait bien semblé aussi ...
On éteignait le feu, on rangeait le camp, il ne restait plus qu'à aller se coucher
Étienne : tu n'auras pas peur cette nuit ?
Moi : Moi ! Mais tu ne me connais pas, j'ai pas peur de faire du camping
Pourquoi tu me dis ça ?
Étienne : Tu es sérieux là ?
Moi : Parfaitement et en plus je dors très bien quand je suis au grand air !
Étienne : J'ai du loupé un épisode moi !
Il est vraiment bien Étienne, il est cool, il est calme et en plus il est très philosophe
Étienne retirait son short, il se retrouvais à poil et il entrait dans la tente et je ne traînais pas à le suivre, j'ai pas peur mais bon il fait grand noir
J'avais pas monté la tente mais c'est moi qui avait préparé les sacs de couchage et bien gonflé les matelas pneumatiques. J'avais même accroché les deux sac de couchage ensemble, ça en faisait un grand
Deux places
J'y retrouvais donc Étienne et je me demandais s'il avait remarqué quelque chose
Je me glissais, j'étais nu également, dans le duvet. Étienne se retournais vers moi
Étienne : J'ai vu que tu avais rangé la tente
Il avançait la main dans ma direction, la passait derrière ma nuque, s'approchait de moi tout en me tirant vers lui. Vous imaginez bien que là je ne résistais pas ...
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